Traduction par Edmond Stapfer, édition de 1889, libre de droits.
n°47 / Seconde épître aux Corinthiens 2 :
4J’étais profondément affligé, j’avais le cœur serré, je pleurais en vous écrivant, non que je voulusse vous faire de la peine, mais vous montrer l’amour sans bornes que j’ai pour vous.