Traduction par Louis-Issac Lemaistre de Saci, édition de 1855, libre de droits.
n°21 / Ecclésiaste. 7 :
3Il vaut mieux aller à une maison de deuil qu’à une maison de festin : car dans celle-là on est averti de la fin de tous les hommes, et celui qui est vivant pense à ce qui doit lui arriver un jour.