1 | Traduction par David Martin Édition de 1744, libre de droits. | 1 Mais j’avais résolu en moi-même de ne revenir point chez vous avec tristesse. (2:1) 2 Car si je vous attriste, qui est-ce qui me réjouira, à moins que ce ne soit celui que j’aurai moi-même affligé ? (2:2) 3 Et je vous ai même écrit ceci, afin que quand j’arriverai, je n’aie point de tristesse de la part de ceux de qui je devais recevoir de la joie, m’assurant de vous tous que ma joie est celle de vous tous. (2:3) 4 Car je vous ai écrit dans une grande affliction et angoisse de cœur, avec beaucoup de larmes ; non afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez la charité toute particulière que j’ai pour vous. (2:4) 5 Que si quelqu’un été cause de cette tristesse, ce n’est pas moi [seul] qu’il a affligé, mais en quelque sorte (afin que je ne le surcharge point) c’est vous tous [qu’il a attristés]. (2:5) 6 C’est assez pour un tel [homme], de cette censure [qui lui a été faite] par plusieurs. (2:6) 7 De sorte que vous devez plutôt lui faire grâce, et le consoler ; afin qu’un tel homme ne soit point accablé par une trop grande tristesse. (2:7) 8 C’est pourquoi je vous prie de ratifier envers lui votre charité. (2:8) 9 Car c’est aussi pour cela que je vous ai écrit, afin de vous éprouver, et de connaître si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Or à celui à qui vous pardonnez quelque chose, je pardonne aussi : car de ma part aussi si j’ai pardonné quelque chose à celui à qui j’ai pardonné, je l’ai fait à cause de vous, devant la face de Christ. (2:10) 11 Afin que Satan n’ait pas le dessus sur nous : car nous n’ignorons pas ses machinations. (2:11) 12 Au reste, étant venu à Troas pour l’Évangile de Christ, quoique la porte m’y fût ouverte par le Seigneur, (2:12) 13 Je n’ai pourtant point eu de relâche en mon esprit, parce que je n’ai pas trouvé Tite mon frère ; mais ayant pris congé d’eux, je m’en suis venu en Macédoine. (2:13) 14 Or grâces [soient rendues] à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui manifeste par nous l’odeur de sa connaissance en tous lieux. (2:14) 15 Car nous sommes la bonne odeur de Christ [de la part de] Dieu, en ceux qui sont sauvés, et en ceux qui périssent : (2:15) 16 A ceux-ci, une odeur mortelle qui les tue ; et à ceux-là, une odeur vivifiante qui les conduit à la vie. Mais qui est suffisant pour ces choses ? (2:16) 17 Car nous ne falsifions pas la parole de Dieu, comme font plusieurs ; mais nous parlons de Christ avec sincérité, comme de la part de Dieu, et devant Dieu. (2:17) | II. Corinthiens 2:1-17 |
2 | Traduction King James revue par B. Blayney Édition de 1769, libre de droits (hors GB). | 1 But I determined this with myself, that I would not come again to you in heaviness. (2:1) 2 For if I make you sorry, who is he then that maketh me glad, but the same which is made sorry by me ? (2:2) 3 And I wrote this same unto you, lest, when I came, I should have sorrow from them of whom I ought to rejoice ; having confidence in you all, that my joy is the joy of you all. (2:3) 4 For out of much affliction and anguish of heart I wrote unto you with many tears ; not that ye should be grieved, but that ye might know the love which I have more abundantly unto you. (2:4) 5 But if any have caused grief, he hath not grieved me, but in part : that I may not overcharge you all. (2:5) 6 Sufficient to such a man is this punishment, which was inflicted of many. (2:6) 7 So that contrariwise ye ought rather to forgive him, and comfort him, lest perhaps such a one should be swallowed up with overmuch sorrow. (2:7) 8 Wherefore I beseech you that ye would confirm your love toward him. (2:8) 9 For to this end also did I write, that I might know the proof of you, whether ye be obedient in all things. (2:9) 10 To whom ye forgive any thing, I forgive also : for if I forgave any thing, to whom I forgave it, for your sakes forgave I it in the person of Christ ; (2:10) 11 Lest Satan should get an advantage of us : for we are not ignorant of his devices. (2:11) 12 Furthermore, when I came to Troas to preach Christ’s gospel, and a door was opened unto me of the Lord, (2:12) 13 I had no rest in my spirit, because I found not Titus my brother : but taking my leave of them, I went from thence into Macedonia. (2:13) 14 Now thanks be unto God, which always causeth us to triumph in Christ, and maketh manifest the savour of his knowledge by us in every place. (2:14) 15 For we are unto God a sweet savour of Christ, in them that are saved, and in them that perish : (2:15) 16 To the one we are the savour of death unto death ; and to the other the savour of life unto life. And who is sufficient for these things ? (2:16) 17 For we are not as many, which corrupt the word of God : but as of sincerity, but as of God, in the sight of God speak we in Christ. (2:17) | II. Corinthians 2:1-17 |
3 | Traduction revue par J. F. Ostervald Édition de 1823, libre de droits. | 1 J’avais donc résolu en moi-même de ne point retourner vers vous pour vous donner de la tristesse. (2:1) 2 Car si je vous affligeais, qui est-ce qui me donnerait de la joie, sinon celui que j’aurais moi-même affligé ? (2:2) 3 Et je vous ai écrit ceci, afin que quand je serai arrivé, je ne reçoive pas de la tristesse de ceux qui devraient me donner de la joie ; car j’ai cette confiance en vous tous, que vous faites tous votre joie de la mienne. (2:3) 4 Je vous écrivis alors, dans une grande affliction et le cœur serré de douleur, avec beaucoup de larmes ; non pour vous affliger, mais pour vous faire connaître l’affection toute particulière que j’ai pour vous. (2:4) 5 Que si quelqu’un a été cause de cette tristesse, ce n’est pas moi seul qu’il a affligé, mais c’est vous tous en quelque manière ; ce que je dis, pour ne pas vous trop charger. (2:5) 6 C’est assez pour cet homme-là, d’avoir subi la correction qui lui a été faite par plusieurs ; (2:6) 7 De sorte que vous devez plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu’il ne soit accablé par une trop grande tristesse. (2:7) 8 C’est pourquoi je vous prie de lui donner des preuves de votre charité. (2:8) 9 C’est pour cela aussi que je vous ai écrit, afin d’éprouver et de connaître si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Celui donc à qui vous pardonnez, je lui pardonne aussi ; car pour moi, si j’ai pardonné, je l’ai fait pour l’amour de vous, en la présence de Christ ; (2:10) 11 Afin que Satan n’ait pas le dessus sur nous ; car nous n’ignorons pas ses desseins. (2:11) 12 Au reste, étant venu à Troas pour prêcher l’évangile de Christ, quoique le Seigneur m’y eût ouvert une porte, (2:12) 13 Je n’eus point l’esprit en repos, parce que je n’y trouvai pas Tite mon frère ; c’est pourquoi, ayant pris congé d’eux, je vins en Macédoine. (2:13) 14 Or, grâces à Dieu qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous l’odeur de sa connaissance en tous lieux. (2:14) 15 Car nous sommes la bonne odeur de Christ devant Dieu, à l’égard de ceux qui sont sauvés et à l’égard de ceux qui périssent ; (2:15) 16 A ceux-ci, une odeur mortelle, qui leur donne la mort ; et à ceux-là, une odeur vivifiante, qui leur donne la vie. Et qui est suffisant pour ces choses ? (2:16) 17 Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme plusieurs font ; mais nous parlons avec sincérité, comme de la part de Dieu, et en la présence de Dieu, en Jésus-Christ. (2:17) | II. Corinthiens 2:1-17 |
4 | Traduction par H.-A. Perret-Gentil Édition de 1847-1861, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que l'Ancien Testament. | |
5 | Traduction par L. I. Lemaistre de Saci Édition de 1855, libre de droits. | 1 JE résolus donc en moi-même, de ne point aller vous voir de nouveau, de peur de vous causer de la tristesse. (2:1) 2 Car si je vous avais attristés, qui pourrait me réjouir ? puisque vous qui devriez le faire, seriez vous-mêmes dans la tristesse que je vous aurais causée. (2:2) 3 C’est aussi ce que je vous avais écrit, afin que venant vers vous, je ne reçusse point tristesse sur tristesse de la part même de ceux qui devaient me donner de la joie ; ayant cette confiance en vous tous, que chacun de vous trouvera sa joie dans la mienne. (2:3) 4 Et il est vrai que je vous écrivis alors dans une extrême affliction, dans un serrement de coeur, et avec une grande abondance de larmes, non dans le dessein de vous attrister, mais pour vous faire connaître la charité toute particulière que j’ai pour vous. (2:4) 5 Si l’un de vous m’a attristé, il ne m’a pas attristé moi seul, mais vous tous aussi, au moins en quelque sorte : ce que je dis pour ne le point surcharger dans son affliction. (2:5) 6 II suffit pour cet homme, qu’il ait subi la correction et la peine qui lui a été imposée par votre assemblée ; (2:6) 7 et vous devez plutôt le traiter maintenant avec indulgence et le consoler, de peur qu’il ne soit accablé par un excès de tristesse. (2:7) 8 C’est pourquoi je vous prie de lui donner des preuves effectives de votre charité. (2:8) 9 Et c’est pour cela même que je vous en écris, afin de vous éprouver, et de reconnaître si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Ce. que vous accordez à quelqu’un par indulgence, je l’accorde aussi. Car si j’use moi-même d’indulgence, j’en use à cause de vous, au nom et en la personne de Jésus-Christ ; (2:10) 11 afin que Satan n’emporte rien sur nous : car nous n’ignorons pas ses desseins. (2:11) 12 Or étant venu à Troade pour prêcher l’Evangile de Jésus-Christ, quoique le Seigneur m’y eût ouvert une entrée favorable, (2:12) 13 je n’ai point eu l’esprit en repos, parce que je n’y avais point trouvé mon frère Tite. Mais ayant pris congé d’eux, je m’en suis allé en Macédoine. (2:13) 14 Je rends grâces à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Jésus-Christ, et qui répand par nous en tous lieux l’odeur de la connaissance de son nom. (2:14) 15 Car nous sommes devant Dieu la bonne odeur de Jésus-Christ, soit à l’égard de ceux qui se sauvent, soit à l’égard de ceux qui se perdent : (2:15) 16 aux uns une odeur de mort qui les fait mourir, et aux autres une odeur de vie qui les fait vivre. Et qui est capable d’un tel ministère ? (2:16) 17 Car nous ne sommes pas comme plusieurs, qui corrompent la parole de Dieu ; mais nous la prêchons avec une entière sincérité, comme de la part de Dieu, en la présence de Dieu, et dans la personne de Jésus-Christ. (2:17) | II. Corinthiens 2:1-17 |
6 | Traduction par Albert Rilliet Édition de 1858, libre de droits. | 1 J’ai, en effet, résolu pour moi-même, de ne pas revenir auprès de vous chargé de tristesse, (2:1) 2 car si moi je vous attriste, quel est alors celui qui me réjouit, sinon celui-là même qui est attristé par moi ? (2:2) 3 Et j’ai écrit comme je l’ai fait, afin de n’avoir pas à mon arrivée à m’attrister sur ceux dont je devais attendre de la joie, ayant en vous tous cette confiance que ma joie est celle de vous tous. (2:3) 4 Car c’est sous l’influence d’une grande tribulation et angoisse de cœur, que je vous ai écrit au milieu de beaucoup de larmes, non pas afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez l’excessive charité que j’ai pour vous. (2:4) 5 Or, si quelqu’un a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, mais jusques à un certain point, afin de ne rien exagérer, c’est vous tous. (2:5) 6 Il suffit pour un tel homme de cette réprimande qui lui a été infligée par la majorité, (2:6) 7 en sorte que vous devez au contraire lui faire grâce et l’encourager, de peur qu’il ne se laisse engloutir par l’excès de sa tristesse. (2:7) 8 C’est pourquoi je vous exhorte à rendre en sa faveur un décret de charité ; (2:8) 9 car j’avais aussi écrit dans le but de connaître, en vous mettant à l’épreuve, que vous obéissez à tous égards ; (2:9) 10 mais à qui vous faites grâce, moi de même ; car pour moi la grâce que j’accorde, si j’en accorde quelqu’une, c’est à cause de vous en présence de Christ, (2:10) 11 afin que nous ne soyons pas dupés par Satan ; car nous n’ignorons pas ses desseins. (2:11) 12 Eh bien, lorsque je fus arrivé à Troas pour l’évangile de Christ, quoiqu’une porte m’y fût ouverte dans le seigneur, je n’éprouvai aucun repos d’esprit parce que je n’y trouvai point Tite mon frère, (2:12) 13 mais, ayant pris congé d’eux, je partis pour venir en Macédoine. (2:13) 14 Or, qu’à Dieu soient rendues grâces, Lui qui nous fait constamment triompher en Christ, et qui manifeste par nous en tous lieux le parfum de sa connaissance, (2:14) 15 car nous sommes pour Dieu la bonne odeur de Christ, soit parmi ceux qui sont sauvés, soit parmi ceux qui sont perdus, (2:15) 16 pour les uns un parfum qui de la mort va à la mort, pour les autres un parfum qui de la vie va à la vie. Et pour cela qui est-ce qui suffit ? (2:16) 17 Nous ne sommes pas en effet, comme le plus grand nombre, des falsificateurs de la parole de Dieu, mais c’est vraiment avec sincérité, mais c’est vraiment par l’action de Dieu, que nous parlons devant Dieu en Christ. (2:17) | II Corinthiens 2:1-17 |
7 | Traduction dite Bible de Lausanne Édition de 1861-1872, libre de droits. | 1 Or j’ai jugé pour moi-même ceci, de ne pas retourner auprès de vous dans la tristesse. (2:1) 2 Car si je vous attriste, moi, qui est-ce qui me réjouira, sinon celui qui a été attristé par moi ? (2:2) 3 Et je vous écris ceci même, afin qu’à mon arrivée je n’aie pas de la tristesse de la part de ceux de qui je devais recevoir de la joie ; ayant cette confiance en vous tous, que ma joie est la vôtre à tous. (2:3) 4 Car c’est du milieu d’une grande tribulation et dans un grand serrement de cœur, que je vous ai écrit avec beaucoup de larmes, non afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez l’amour que j’ai abondamment pour vous. (2:4) 5 Que si quelqu’un a causé de la tristesse, ce n’est pas à moi qu’il en a causé, mais, en quelque mesure, pour ne pas exagérer, à vous tous. (2:5) 6 C’est assez, pour un tel homme, de cette punition qui [lui a été infligée] par le plus grand nombre ; (2:6) 7 en sorte qu’il vaut mieux au contraire que vous lui fassiez grâce et que vous le consoliez, de peur que cet homme ne soit englouti par une trop grande tristesse. (2:7) 8 C’est pourquoi je vous exhorte à ratifier envers lui [votre] amour ; (2:8) 9 car c’est aussi pour cela que j’ai écrit afin de connaître à l’épreuve si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Or à celui à qui vous faites grâce de quelque chose, j’en fais autant ; car si moi-même j’ai fait grâce de quelque chose à celui à qui j’ai fait grâce, c’est à cause de vous que je l’ai fait en la face du Christ ; (2:10) 11 de peur que Satan (l’Adversaire) ne fasse son profit de nous, car nous n’ignorons pas ses intentions. (2:11) 12 Or étant arrivé à Troas pour [annoncer] la bonne nouvelle du Christ, et une porte m’ayant été ouverte par le Seigneur, (2:12) 13 je n’eus point de soulagement en mon esprit, parce que je ne trouvai pas Tite, mon frère ; mais ayant pris congé d’eux, je partis pour la Macédoine. (2:13) 14 Or grâces à Dieu qui nous fait toujours triompher dans le Christ, et qui manifeste en tout lieu, par notre moyen, l’odeur de sa connaissance. (2:14) 15 Car nous sommes pour Dieu la bonne odeur du Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent ; (2:15) 16 pour ceux-ci, odeur de mort, à mort ; et pour ceux-là, odeur de vie, à vie (et qui est suffisant pour ces choses ?) ; (2:16) 17 car nous ne faisons pas, comme le grand nombre, trafic de la parole de Dieu ; mais c’est comme [poussés] par la sincérité, mais c’est comme venant de Dieu, en présence de Dieu, dans le Christ, que nous parlons. (2:17) | 2 Corinthiens 2:1-17 |
8 | Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré Édition de 1866, libre de droits. | 1 J’ai donc résolu en moi-même de ne point venir à vous de nouveau dans la tristesse. (2:1) 2 Car si je vous contriste, qui pourra me réjouir, sinon celui que j’aurais attristé ? (2:2) 3 C’est aussi ce que je vous ai écrit, afin qu’à mon arrivée chez vous je n’eusse pas tristesse sur tristesse de la part de ceux qui auraient dû me donner de la joie, ayant cette confiance en vous tous que ma joie est la vôtre à tous. (2:3) 4 Il est vrai que je vous écrivis alors dans une grande tribulation et anxiété de cœur, avec beaucoup de larmes, non pour vous contrister, mais pour vous faire connaître la charité surabondante que j’ai pour vous. (2:4) 5 Si l’un de vous m’a contristé, il ne m’a contristé qu’en partie ; ce que je dis pour ne pas vous charger tous. (2:5) 6 Quant à l’auteur du mal, il suffit de cette correction faite par un grand nombre ; (2:6) 7 De sorte que vous devez plutôt le traiter maintenant avec indulgence et le consoler, de peur qu’il ne soit accablé par un excès de tristesse. (2:7) 8 C’est pourquoi je vous conjure de lui donner des preuves effectives de votre charité. (2:8) 9 C’est même dans ce but que je vous écris, afin de connaître par expérience si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Ce que vous lui avez pardonné, je le lui ai pardonné aussi. Car si j’ai moi-même usé d’indulgence, j’en ai usé à cause de vous, et en la personne de Jésus-Christ, (2:10) 11 Afin que nous ne soyons point circonvenus par satan ; car nous n’ignorons pas ses desseins. (2:11) 12 Or, étant venu à Troade pour prêcher l’Évangile de Jésus-Christ, quoique le Seigneur m’y eût ouvert une entrée, (2:12) 13 Je n’ai point eu l’esprit en repos, parce que je n’y avais pas trouvé mon frère Tite. Mais, leur faisant mes adieux, je suis parti pour la Macédoine. (2:13) 14 Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Jésus-Christ, et qui répand par nous en tout lieu l’odeur de sa connaissance ! (2:14) 15 Car nous sommes pour Dieu la bonne odeur de Jésus-Christ, à l’égard de ceux qui se sauvent et à l’égard de ceux qui se perdent ; (2:15) 16 Aux uns une odeur de mort qui les fait mourir, et aux autres une odeur de vie qui les fait vivre. Or, qui est capable d’un tel ministère ? (2:16) 17 Car nous ne sommes pas comme plusieurs, qui corrompent la parole de Dieu ; mais c’est avec sincérité, comme de la part de Dieu, en la présence de Dieu, et dans Jésus-Christ, que nous parlons. (2:17) | II Corinthiens 2:1-17 |
9 | Traduction par L. Segond & H. Oltramare Édition de 1874, libre de droits. | 1 J’ai pris pour moi-même la résolution de ne pas retourner chez vous pour y causer de la tristesse, (2:1) 2 car si je vous afflige, de qui attendrai-je de la joie, puisque j’aurai affligé moi-même ceux qui devaient m’en donner ? (2:2) 3 Je vous ai écrit comme je l’ai fait, afin qu’en me rendant chez vous je ne sois pas affligé par ceux qui doivent me donner de la joie : je suis persuadé que vous faites tous votre joie de la mienne. (2:3) 4 C’est, en effet, le cœur navré et serré, les larmes aux yeux, que je vous ai écrit, non dans le dessein de vous affliger, mais afin de vous faire connaître l’amour extrême que j’ai pour vous. (2:4) 5 Si quelqu’un a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi personnellement qu’il a affligé, mais vous tous, du moins en partie, pour ne rien exagérer. (2:5) 6 C’est assez pour cet homme du blâme que lui a infligé la majorité. (2:6) 7 Au lieu d’aggraver la peine, vous devez plutôt lui faire grâce et le consoler, dans la crainte que le malheureux ne succombe à une trop grande affliction. (2:7) 8 Je vous invite, en conséquence, à rendre à son égard une sentence de charité ; (2:8) 9 car, en vous écrivant, mon but était aussi de connaître, à l’épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 A qui vous pardonnez, je pardonne aussi ; car, pour moi, la grâce que j’accorde, si tant est que j’en accorde quelqu’une, je l’accorde à cause de vous, en présence de Christ, (2:10) 11 pour que nous ne soyons pas les dupes de Satan, dont nous n’ignorons pas les desseins. (2:11) 12 Au reste, m’étant rendu à Troas pour l’évangile de Christ, quoiqu’une porte m’y fût ouverte dans le Seigneur, (2:12) 13 je n’eus point l’esprit en repos, parce que je n’y trouvai pas Tite, mon frère, c’est pourquoi, ayant fait mes adieux aux frères, je partis pour la Macédoine. (2:13) 14 Grâces soient rendues à Dieu de ce qu’il nous fait toujours triompher en Christ et répand en tout lieu, par notre ministère, le parfum de sa connaissance ! (2:14) 15 Nous sommes, pour Dieu, l’encens de Christ parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui se perdent : (2:15) 16 aux uns, une odeur de mort, qui donne la Mort ; aux autres, un parfum de vie, qui donne la Vie. Mais qui est capable d’un tel ministère ? (2:16) 17 Pour nous, nous en sommes capable, car nous ne frelatons pas la parole de Dieu, comme plusieurs le font, mais c’est pure, mais c’est telle qu’elle vient de Dieu que nous la prêchons devant Dieu, en Christ. (2:17) | II Corinthiens 2:1-17 |
10 | Traduction par J. N. Darby Édition de 1885, libre de droits. | 1 — Mais j’ai jugé ceci en moi-même, de ne pas retourner auprès de vous avec de la tristesse. (2:1) 2 Car si moi je vous attriste, qui est-ce donc qui me réjouit, sinon celui qui est attristé par moi ? (2:2) 3 Et j’ai écrit ceci même, afin que, quand j’arriverai, je n’aie pas de tristesse de la part de ceux de qui je devais me réjouir, ayant cette confiance à l’égard de vous tous, que ma joie est celle de vous tous ; (2:3) 4 car je vous ai écrit dans une grande affliction et avec serrement de cœur, avec beaucoup de larmes, non afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez l’amour que j’ai si abondamment pour vous. (2:4) 5 Mais si quelqu’un a causé de la tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, mais, en quelque sorte (afin que je ne vous surcharge pas), c’est vous tous. (2:5) 6 Il suffit, pour un tel homme, de cette punition [qui lui a été infligée] par le grand nombre, (2:6) 7 de sorte qu’au contraire vous devriez plutôt pardonner et consoler, de peur qu’un tel homme ne soit accablé par une tristesse excessive. (2:7) 8 C’est pourquoi je vous exhorte à ratifier envers lui votre amour. (2:8) 9 Car c’est aussi pour cela que je vous ai écrit, afin que je connaisse, à l’épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Or à celui à qui vous pardonnez quelque chose, moi aussi [je pardonne] ; car moi aussi, ce que j’ai pardonné, si j’ai pardonné quelque chose, [je l’ai fait] à cause de vous dans la personne de Christ ; (2:10) 11 afin que nous ne soyons pas circonvenus par Satan, car nous n’ignorons pas ses desseins. (2:11) 12 Or, étant arrivé dans la Troade pour l’évangile du Christ, et une porte m’y étant ouverte dans le Seigneur, (2:12) 13 je n’ai point eu de repos dans mon esprit, parce que je n’ai pas trouvé Tite, mon frère ; mais, ayant pris congé d’eux, je suis parti pour la Macédoine. (2:13) 14 Or, grâces à Dieu qui nous mène toujours en triomphe dans le Christ et manifeste par nous l’odeur de sa connaissance en tout lieu. (2:14) 15 Car nous sommes la bonne odeur de Christ pour Dieu, à l’égard de ceux qui sont sauvés et à l’égard de ceux qui périssent : (2:15) 16 aux uns une odeur de mort pour la mort, et aux autres une odeur de vie pour la vie. Et qui est suffisant pour ces choses ? (2:16) 17 Car nous ne sommes pas comme plusieurs, qui frelatent la parole de Dieu ; mais comme avec sincérité, comme de la part de Dieu, devant Dieu, nous parlons en Christ. (2:17) | Corinthiens II 2:1-17 |
11 | Traduction par L. Cl. Fillion Édition de 1889, libre de droits. | 1 Je résolus donc en moi-même de ne pas venir vers vous de nouveau dans la tristesse. (2:1) 2 Car, si je vous attriste, qui est-ce qui me réjouira, sinon celui que j’aurai moi-même attristé ? (2:2) 3 C’est aussi ce que je vous avais écrit, afin que, lorsque je serai arrivé, je n’aie pas tristesse sur tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie ; car j’ai cette confiance en vous tous, que ma joie est la vôtre à tous. (2:3) 4 Car je vous ai écrit dans une grand affliction et le cœur serré, avec beaucoup de larmes ; non pour que vous fussiez attristés, mais pour que vous sachiez quelle charité surabondante j’ai pour vous. (2:4) 5 Si quelqu’un a été une cause de tristesse, ce n’est moi qu’il a attristé, mais vous tous, en quelque mesure, pour ne pas exagérer. (2:5) 6 Il suffit, pour cet homme-la, de la correction qui lui a été imposée par le plus grand nombre, (2:6) 7 de sorte que vous devez plutôt lui pardonner et le consoler, de peur que cet homme ne soit accablé par un excès de tristesse. (2:7) 8 C’est pourquoi je vous conjure de redoubler de charité envers lui. (2:8) 9 C’est pour cela aussi que je vous ai écrit, afin de vous éprouver, et de connaître si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Celui donc à qui vous pardonnez, je lui pardonne aussi ; car si j’ai moi-même pardonné, je l’ai fait à cause de vous, dans la personne du Christ, (2:10) 11 afin que nous ne soyons point circonvenus par Satan, car nous n’ignorons pas ses desseins. (2:11) 12 Du reste, lorsque je fus arrivé à Troas pour prêcher l’Evangile du Christ, quoique le Seigneur m’y eût ouvert une porte, (2:12) 13 je n’eus point l’esprit en repos, parce que je n’y avais pas trouvé Tite, mon frère ; mais, ayant pris congé d’eux, je partis pour la Macédoine. (2:13) 14 Grâces soient à Dieu, qui nous fait toujours triompher dans le Christ Jésus, et qui répand par nous le parfum de sa connaissance en tout lieu. (2:14) 15 Car nous sommes pour Dieu la bonne odeur du Christ, à l’égard de ceux qui sont sauvés, et à l’égard de ceux qui périssent : (2:15) 16 aux uns, une odeur de mort, pour la mort ; aux autres, une odeur de vie, pour la vie. Et qui suffira pour cette tâche ? (2:16) 17 Car nous ne sommes pas comme plusieurs, qui frelatent la parole de Dieu ; mais c’est avec sincérité, comme de la part de Dieu, devant Dieu, dans le Christ, que nous parlons. (2:17) | II Corinthiens 2:1-17 |
12 | Traduction par Edmond Stapfer Édition de 1889, libre de droits. | 1 Je me suis donc décidé à ne pas revenir une seconde fois chez vous pour vous attrister (2:1) 2 (car si je vous attristais, que deviendrais-je, n’ayant pour m’égayer que celui que j’aurais attristé ?) ; et je vous ai écrit. (2:2) 3 Je vous ai écrit pour qu’à mon arrivée ceux qui devaient me donner de la joie ne me fissent pas de chagrin ; j’étais convaincu, et cela de vous tous, que ma joie est aussi la vôtre à tous. (2:3) 4 J’étais profondément affligé, j’avais le cœur serré, je pleurais en vous écrivant, non que je voulusse vous faire de la peine, mais vous montrer l’amour sans bornes que j’ai pour vous. (2:4) 5 Si l’un de vous en particulier a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi personnellement, non je ne veux pas l’accabler, c’est vous tous, en un sens, qu’il a attristés. (2:5) 6 Ce blâme général est pour lui un châtiment suffisant ; aussi vous faut-il au contraire lui accorder sa grâce et le consoler de peur qu’il ne succombe à un trop grand chagrin. (2:6) 7 Prenez donc, je vous prie, une décision charitable à son égard ; (2:7) 8 car j’avais un but en vous écrivant, je voulais vous mettre à l’épreuve et voir si vous m’obéissiez en toutes choses. (2:8) 9 Si vous lui accordez sa grâce, il a aussi la mienne ; et, quant à moi, (2:9) 10 si je l’accorde, c’est à cause de vous, c’est en présence du Christ que je l’accorde, (2:10) 11 et pour que nous ne fassions pas les affaires de Satan dont les desseins nous sont bien connus. (2:11) 12 J’étais allé à Troas pour annoncer l’Évangile du Christ, le Seigneur m’y ouvrait une porte, (2:12) 13 et cependant je n’y ai pas eu l’esprit en repos parce que je n’y ai pas rencontré mon frère Tite, aussi ai-je pris congé des frères, et suis-je parti pour la Macédoine. (2:13) 14 Grâces soient à Dieu qui nous fait sans cesse triompher en Christ et qui, en tout lieu, répand par nous sa connaissance comme on répand un parfum. (2:14) 15 Car le parfum de Christ c’est nous qui le sommes pour Dieu et parmi les sauvés et parmi ceux qui vont périr ; (2:15) 16 pour ceux-ci cette odeur vient de la mort et va à la mort, pour ceux-là elle vient de la vie et va à la vie ; — (à cette tâche qui suffira ?) — (2:16) 17 nous ne sommes pas, en effet, comme le grand nombre, nous ne frelatons pas la parole de Dieu, mais c’est avec sincérité, mais c’est telle qu’elle vient de Dieu, c’est devant Dieu, c’est en Christ que nous la prêchons. (2:17) | II Corinthiens 2:1-17 |
13 | Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn Édition de 1899-1906, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que l'Ancien Testament. | |
14 | Traduction par Louis Segond Édition de 1910, libre de droits. | 1 Je résolus donc en moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse. (2:1) 2 Car si je vous attriste, qui peut me réjouir, sinon celui qui est attristé par moi ? (2:2) 3 J’ai écrit comme je l’ai fait pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie, ayant en vous tous cette confiance que ma joie est la vôtre à tous. (2:3) 4 C’est dans une grande affliction, le cœur angoissé, et avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non pas afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez l’amour extrême que j’ai pour vous. (2:4) 5 Si quelqu’un a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, c’est vous tous, du moins en partie, pour ne rien exagérer. (2:5) 6 Il suffit pour cet homme du châtiment qui lui a été infligé par le plus grand nombre, (2:6) 7 en sorte que vous devez bien plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu’il ne soit accablé par une tristesse excessive. (2:7) 8 Je vous exhorte donc à faire acte de charité envers lui ; (2:8) 9 car je vous ai écrit aussi dans le but de connaître, en vous mettant à l’épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Or, à qui vous pardonnez, je pardonne aussi ; et ce que j’ai pardonné, si j’ai pardonné quelque chose, c’est à cause de vous, en présence de Christ, (2:10) 11 afin de ne pas laisser à Satan l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses desseins. (2:11) 12 Au reste, lorsque je fus arrivé à Troas pour l’Évangile de Christ, quoique le Seigneur m’y eût ouvert une porte, je n’eus point de repos d’esprit, parce que je ne trouvai pas Tite, mon frère ; (2:12) 13 c’est pourquoi, ayant pris congé d’eux, je partis pour la Macédoine. (2:13) 14 Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous en tout lieu l’odeur de sa connaissance ! (2:14) 15 Nous sommes, en effet, pour Dieu la bonne odeur de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent : (2:15) 16 aux uns, une odeur de mort, donnant la mort ; aux autres, une odeur de vie, donnant la vie. — Et qui est suffisant pour ces choses ? — (2:16) 17 Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme font plusieurs ; mais c’est avec sincérité, mais c’est de la part de Dieu, que nous parlons en Christ devant Dieu. (2:17) | II Corinthiens 2:1-17 |
15 | Traduction par Augustin Crampon Édition de 1923, libre de droits. | 1 Je me suis donc promis à moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse. (2:1) 2 Car si moi-même je vous attriste, de qui puis-je attendre de la joie ? N’est-ce pas de celui même que j’aurais affligé ? (2:2) 3 Je vous ai écrit comme je l’ai fait, pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie, ayant en vous tous cette confiance, que vous faites tous votre joie de la mienne. (2:3) 4 Car c’est dans une grande affliction, dans l’angoisse de mon cœur, et avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non dans le dessein de vous attrister, mais pour vous faire connaître l’amour que j’ai pour vous. (2:4) 5 Si quelqu’un a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, mais c’est vous tous en quelque sorte, pour ne pas trop le charger. (2:5) 6 C’est assez pour cet homme du châtiment qui lui a été infligé par le plus grand nombre, (2:6) 7 en sorte que vous devez bien plutôt lui faire grâce et le consoler, de peur qu’il ne soit absorbé par une tristesse excessive. (2:7) 8 Je vous invite donc à prendre envers lui une décision charitable. (2:8) 9 Car, en vous écrivant, mon but était aussi de connaître, à l’épreuve, si vous m’obéiriez en toutes choses. (2:9) 10 A qui vous pardonnez, je pardonne également ; car, pour moi si j’ai pardonné, si tant est que je pardonne quelque chose, c’est à cause de vous, et à la face du Christ, (2:10) 11 afin de ne pas laisser à Satan l’avantage sur nous ; car nous n’ignorons pas ses desseins. (2:11) 12 Lorsque je fus arrivé à Troas pour l’Évangile du Christ, quoiqu’une porte m’y fût ouverte dans le Seigneur, (2:12) 13 je n’eus point l’esprit en repos, parce que je n’y trouvais pas Tite, mon frère ; c’est pourquoi, ayant pris congé des frères, je partis pour la Macédoine. (2:13) 14 Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous fait triompher en tout temps dans le Christ, et par nous répand en tout lieu le parfum de sa connaissance ! (2:14) 15 En effet, nous sommes pour Dieu la bonne odeur du Christ parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui se perdent : (2:15) 16 aux uns, une odeur de mort, qui donne la mort ; aux autres, une odeur de vie, qui donne la vie. — Et qui donc est capable d’un tel ministère ? (2:16) 17 Car nous ne sommes pas comme la plupart, nous ne frelatons pas la parole de Dieu ; mais c’est dans sa pureté, telle qu’elle vient de Dieu, que nous la prêchons devant Dieu en Jésus-Christ. (2:17) | II Corinthiens 2:1-17 |
16 | La Bible de Jérusalem Édition de 1973 © Copyright.[+] | 1 Je décidai donc en moi-même de ne pas revenir chez vous dans la tristesse. (2:1) 2 Car si c’est moi qui vous attriste, qui peut alors me donner de la joie sinon celui que j’aurai attristé ? (2:2) 3 Et si j’ai écrit ce que vous savez, c’était pour ne pas éprouver de tristesse, en venant, du fait de ceux qui devraient me donner de la joie, persuadé à l’égard de vous tous que ma joie est aussi la vôtre, à vous tous. (2:3) 4 Oui, c’est dans une grande tribulation et angoisse de cœur que je vous ai écrit, parmi bien des larmes, non pour que vous soyez attristés, mais pour que vous sachiez l’extrême affection que je vous porte. (2:4) 5 Que si quelqu’un a causé de la tristesse, ce n’est pas à moi qu’il en a causé ; c’est, dans une certaine mesure (n’exagérons rien), à vous tous. (2:5) 6 C’est assez pour cet homme-là du châtiment infligé par la majorité, (2:6) 7 en sorte qu’il vaut mieux au contraire lui pardonner et l’encourager, de peur que cet homme-là ne vienne à sombrer dans une tristesse excessive. (2:7) 8 C’est pourquoi je vous exhorte à faire prévaloir envers lui la charité. (2:8) 9 Aussi bien, en écrivant, je ne me proposais que de vous mettre à l’épreuve et de voir si vous êtes en tous points obéissants. (2:9) 10 Mais à qui vous pardonnez, je pardonne aussi ; car, si j’ai pardonné - pour autant que j’ai eu à pardonner - c’est à cause de vous, en présence du Christ. (2:10) 11 Il ne s’agit pas d’être dupes de Satan, car nous n’ignorons pas ses desseins. (2:11) 12 J’arrivai donc à Troas pour l’Evangile du Christ, et bien qu’une porte me fût ouverte dans le Seigneur, (2:12) 13 mon esprit n’eut point de repos, parce que je ne trouvai pas Tite, mon frère. Je pris donc congé d’eux et partis pour la Macédoine. (2:13) 14 Grâces soient à Dieu qui, dans le Christ, nous emmène sans cesse dans son triomphe et qui, par nous, répand en tous lieux le parfum de sa connaissance. (2:14) 15 Car nous sommes bien, pour Dieu, la bonne odeur du Christ parmi ceux qui se sauvent et parmi ceux qui se perdent ; (2:15) 16 pour les uns, une odeur qui de la mort conduit à la mort ; pour les autres, une odeur qui de la vie conduit à la vie. Et de cela qui est capable ? (2:16) 17 Nous ne sommes pas, en effet, comme la plupart, qui frelatent la parole de Dieu ; non, c’est en toute pureté, c’est en envoyés de Dieu que, devant Dieu, nous parlons dans le Christ. (2:17) | 2 Corinthiens 2:1-17 |
17 | Nouvelle édition de Genève Édition de 1979 © Copyright.[+] | 1 Je résolus donc en moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse. (2:1) 2 Car si je vous attriste, qui peut me réjouir, sinon celui qui est attristé par moi ? (2:2) 3 J’ai écrit comme je l’ai fait pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie, ayant en vous tous cette confiance que ma joie est la vôtre à tous. (2:3) 4 C’est dans une grande affliction, le cœur angoissé, et avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non pas afin que vous soyez attristés, mais afin que vous connaissiez l’amour extrême que j’ai pour vous. (2:4) 5 Si quelqu’un a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, c’est vous tous, du moins en partie, pour ne rien exagérer. (2:5) 6 Il suffit pour cet homme du châtiment qui lui a été infligé par le plus grand nombre, (2:6) 7 en sorte que vous devez bien plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu’il ne soit accablé par une tristesse excessive. (2:7) 8 Je vous exhorte donc à faire acte de charité envers lui ; (2:8) 9 car je vous ai écrit aussi dans le but de connaître, en vous mettant à l’épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Or, à qui vous pardonnez, je pardonne aussi ; et ce que j’ai pardonné, si j’ai pardonné quelque chose, c’est à cause de vous, en présence de Christ, (2:10) 11 afin de ne pas laisser à Satan l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses desseins. (2:11) 12 Au reste, lorsque je fus arrivé à Troas pour l’Evangile de Christ, quoique le Seigneur m’y ait ouvert une porte, je n’eus point de repos d’esprit, parce que je ne trouvai pas Tite, mon frère ; (2:12) 13 c’est pourquoi, ayant pris congé d’eux, je partis pour la Macédoine. (2:13) 14 Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous en tout lieu l’odeur de sa connaissance ! (2:14) 15 Nous sommes, en effet, pour Dieu le parfum de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent : (2:15) 16 aux uns, une odeur de mort, donnant la mort ; aux autres, une odeur de vie, donnant la vie. – Et qui est suffisant pour ces choses ? – (2:16) 17 Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme font plusieurs ; mais c’est avec sincérité, mais c’est de la part de Dieu, que nous parlons en Christ devant Dieu. (2:17) | 2 Corinthiens 2:1-17 |
18 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 1995 © Copyright.[+] | 1 Car voici ce que j’ai décidé pour moi : de ne pas venir de nouveau chez vous dans la tristesse. (2:1) 2 Car si je vous attriste, qui reste-t-il alors pour me donner de la joie, si ce n’est celui qui est attristé par moi ? (2:2) 3 Et ainsi j’ai écrit précisément cela pour que, quand je viendrai, je ne m’attriste pas à cause de ceux au sujet de qui je devrais me réjouir ; parce que j’ai en vous tous cette confiance que la joie que j’ai est celle de vous tous. (2:3) 4 Car c’est dans beaucoup de tribulations et d’angoisse de cœur que je vous ai écrit, avec bien des larmes, non pour que vous soyez attristés, mais pour que vous connaissiez l’amour que j’ai tout particulièrement pour vous. (2:4) 5 Or si quelqu’un a causé de la tristesse, il a attristé, non pas moi, mais vous tous dans une certaine mesure — pour ne pas me montrer trop dur dans ce que je dis. (2:5) 6 Cette réprimande infligée par la majorité suffit pour un tel homme, (2:6) 7 de sorte que maintenant, au contraire, vous devriez [lui] pardonner volontiers et [le] consoler, de peur que d’une manière ou d’une autre un tel homme ne soit englouti par sa tristesse excessive. (2:7) 8 Je vous exhorte donc à confirmer votre amour pour lui. (2:8) 9 Car c’est aussi pour cela que je vous écris, pour m’assurer de la preuve en ce qui vous concerne, [pour voir] si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Ce que vous voulez bien pardonner à quelqu’un, moi aussi je [le pardonne]. Oui, pour ma part, ce que j’ai bien voulu pardonner, si j’ai bien voulu pardonner quelque chose, c’est à cause de vous en présence de Christ ; (2:10) 11 pour que nous ne soyons pas dupes de Satan, car nous n’ignorons pas ses intentions. (2:11) 12 Or, quand je suis arrivé à Troas pour annoncer la bonne nouvelle concernant le Christ, et qu’une porte m’a été ouverte dans [le] Seigneur, (2:12) 13 je n’ai pas connu de soulagement dans mon esprit, parce que je ne trouvais pas Tite mon frère, mais je leur ai fait mes adieux et je suis parti pour la Macédoine. (2:13) 14 Mais grâces [soient rendues] à Dieu qui toujours nous conduit dans un cortège triomphal en compagnie du Christ et qui, par notre intermédiaire, rend perceptible en tout lieu l’odeur de sa connaissance. (2:14) 15 Car pour Dieu nous sommes une agréable odeur de Christ parmi ceux qui sont en train d’être sauvés et parmi ceux qui périssent ; (2:15) 16 pour ceux-ci, une odeur venant de la mort pour la mort, pour ceux-là, une odeur venant de la vie pour la vie. Et qui est qualifié pour ces choses ? (2:16) 17 [Nous le sommes ;] car nous ne sommes pas des colporteurs de la parole de Dieu, comme le sont beaucoup d’hommes ; mais c’est avec sincérité, oui comme envoyés de Dieu, sous le regard de Dieu, en compagnie de Christ, que nous parlons. (2:17) | 2 Corinthiens 2:1-17 |
19 | Traduction Louis Segond 21 Édition de 2007 © Copyright.[+] | 1 J’ai donc décidé en moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse. (2:1) 2 En effet, si je vous attriste, qui peut me réjouir, sinon celui que j’ai attristé ? (2:2) 3 J’ai écrit comme je l’ai fait pour ne pas être attristé, à mon arrivée, par ceux qui devaient me donner de la joie ; car en ce qui vous concerne, je suis convaincu que ma joie est aussi la vôtre, à vous tous. (2:3) 4 C’est dans une grande souffrance, le cœur angoissé et avec beaucoup de larmes que je vous ai écrit, non pas afin de vous attrister, mais afin que vous sachiez quel amour débordant j’ai pour vous. (2:4) 5 Si quelqu’un a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, c’est vous tous, du moins dans une certaine mesure, pour ne rien exagérer. (2:5) 6 Le blâme qui lui a été infligé par la majorité d’entre vous est suffisant pour cet homme. (2:6) 7 Maintenant, au contraire, vous devez plutôt lui pardonner et l’encourager, de peur qu’il ne soit accablé par une tristesse excessive. (2:7) 8 Je vous engage donc à faire preuve d’amour envers lui, (2:8) 9 car je vous ai aussi écrit dans le but de savoir, en vous mettant à l’épreuve, si vous êtes obéissants à tout point de vue. (2:9) 10 Or à qui vous pardonnez, je pardonne aussi ; et si j’ai pardonné quelque chose à quelqu’un, je l’ai fait à cause de vous, en présence de Christ, (2:10) 11 afin de ne pas laisser à Satan l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses intentions. (2:11) 12 Quand je suis arrivé à Troas pour annoncer l’Evangile de Christ, bien que le Seigneur m’y ait ouvert une porte, je n’avais pas l’esprit en repos parce que je n’avais pas trouvé mon frère Tite. (2:12) 13 C’est pourquoi j’ai pris congé d’eux et je suis parti pour la Macédoine. (2:13) 14 Que Dieu soit remercié, lui qui nous fait toujours triompher en Christ et qui propage partout, à travers nous, le parfum de sa connaissance ! (2:14) 15 Nous sommes en effet pour Dieu la bonne odeur de Christ parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent : (2:15) 16 pour les uns, un parfum de mort qui donne la mort, pour les autres, un parfum de vie qui donne la vie. –Et pour cette mission, qui donc est qualifié ?– (2:16) 17 En effet, nous ne falsifions pas la parole de Dieu, comme le font les autres, mais c’est avec pureté, c’est de la part de Dieu, en Christ et devant Dieu que nous parlons. (2:17) | 2 Corinthiens 2:1-17 |
20 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 2018 © Copyright.[+] | 1 J’ai donc décidé que ma prochaine visite chez vous ne se fera pas dans une ambiance triste. (2:1) 2 Car si je vous attriste, qui pourra me donner de la joie, à part celui que j’ai attristé ? (2:2) 3 J’ai écrit ce que j’ai écrit pour que, lorsque je viendrai, je ne sois pas attristé par ceux qui devraient être pour moi une source de joie, car je suis convaincu que ce qui me donne de la joie vous apporte à tous la même joie. (2:3) 4 C’est au milieu de beaucoup d’épreuves et le cœur tout angoissé que je vous ai écrit, avec bien des larmes, non pour vous attrister, mais pour que vous connaissiez la profondeur de mon amour pour vous. (2:4) 5 Or si quelqu’un a causé de la tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, mais vous tous dans une certaine mesure — je dis cela pour ne pas me montrer trop dur. (2:5) 6 La réprimande infligée par la majorité d’entre vous est suffisante pour cet homme ; (2:6) 7 maintenant, vous devriez plutôt lui pardonner volontiers et le consoler, pour qu’il ne soit pas submergé par une tristesse excessive. (2:7) 8 Je vous recommande donc de l’assurer de votre amour. (2:8) 9 C’est aussi pour cela que je vous ai écrit : pour savoir si vous seriez obéissants en toutes choses. (2:9) 10 Si vous pardonnez quelque chose à quelqu’un, moi aussi je le pardonne. D’ailleurs, ce que j’ai pardonné (si j’ai pardonné quelque chose), je l’ai pardonné pour votre bien et en présence de Christ, (2:10) 11 afin que Satan ne prenne pas l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses intentions. (2:11) 12 Quand je suis arrivé à Troas pour annoncer la bonne nouvelle concernant le Christ et qu’une porte m’a été ouverte dans le Seigneur, (2:12) 13 mon inquiétude ne s’est pas dissipée, car je ne trouvais pas mon frère Tite. J’ai donc fait mes adieux aux frères et je suis parti pour la Macédoine. (2:13) 14 Mais merci à Dieu qui toujours nous emmène à sa suite dans un cortège triomphal en compagnie du Christ et qui répand par notre intermédiaire le parfum de sa connaissance en tout lieu ! (2:14) 15 Car pour Dieu nous sommes un agréable parfum de Christ qui se diffuse parmi ceux qui sont en train d’être sauvés et parmi ceux qui vont à la destruction ; (2:15) 16 pour ces derniers, c’est une odeur de mort menant à la mort, pour les autres, un parfum de vie menant à la vie. Et qui est qualifié pour cela ? (2:16) 17 Nous le sommes, car nous ne sommes pas des colporteurs de la parole de Dieu, comme beaucoup d’autres ; mais nous parlons en toute sincérité, comme envoyés de Dieu, oui, sous le regard de Dieu et en compagnie de Christ. (2:17) | 2 Corinthiens 2:1-17 |
21 | Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford Édition de 2022 © Copyright.[+] | 1 Mais j’avais décidé ceci en moi-même, que je ne retournerais pas chez vous dans la tristesse. (2:1) 2 Car si je vous rends triste, qui est alors celui qui me rend content, sinon celui qui a été rendu triste par moi ? (2:2) 3 Et je vous ai écrit cela même, de peur que lorsque j’arriverai, je n’aie de la tristesse de la part de ceux de qui je devais me réjouir ; ayant confiance en vous tous, que ma joie est la joie de vous tous. (2:3) 4 Car je vous ai écrit, dans une grande affliction et angoisse de cœur, avec beaucoup de larmes ; non pour que vous soyez navrés, mais afin que vous puissiez connaître l’amour encore plus abondant que j’ai envers vous. (2:4) 5 Mais si quelqu’un a causé du déchirement, il ne m’a pas blessé, sauf en partie : pour que je puisse ne pas vous surcharger tous. (2:5) 6 Suffisante pour un tel homme est cette punition, laquelle a été infligée par beaucoup. (2:6) 7 De sorte qu’au contraire vous devez plutôt lui pardonner et le réconforter, de peur que peut-être un tel homme ne soit englouti par une tristesse excessive. (2:7) 8 C’est pourquoi je vous implore que vous confirmiez votre amour envers lui. (2:8) 9 Car c’est à cette fin aussi que je vous ai écrit, pour que je puisse savoir en vous mettant à l’épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. (2:9) 10 À celui à qui vous pardonnez quelque chose, je pardonne aussi : car si j’ai pardonné quelque chose, à qui je l’ai pardonné à cause de vous je l’ai pardonné en la personne de Christ ; (2:10) 11 De peur que Satan n’ait un avantage sur nous : car nous ne sommes pas ignorants de ses machinations. (2:11) 12 De plus, lorsque je vins à Troas pour prêcher l’évangile de Christ, et qu’une porte me fut ouverte de la part du Seigneur, (2:12) 13 Je n’avais aucun repos dans mon esprit, parce que je ne trouvai pas Tite, mon frère : mais prenant congé d’eux, j’allais de là en Macédoine. (2:13) 14 Maintenant les remerciements sont envers Dieu, lequel nous fait toujours triompher en Christ, et par nous rend manifeste la fragrance de sa connaissance en tout lieu. (2:14) 15 Car nous sommes à Dieu une douce fragrance de Christ, en ceux qui sont sauvés et en ceux qui périssent : (2:15) 16 À l’un, nous sommes une fragrance de mort vers la mort ; et à l’autre la fragrance de vie vers la vie. Et qui est suffisant pour ces choses ? (2:16) 17 Car nous ne sommes pas comme beaucoup, qui corrompent la parole de Dieu : mais comme avec sincérité, mais comme de la part de Dieu, à la vue de Dieu, nous parlons en Christ. (2:17) | 2 Corinthiens 2:1-17 |