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1Traduction par David Martin
Édition de 1744, libre de droits.
1 Plût à Dieu que tu me fusses comme un frère qui a sucé les mamelles de ma mère ! je t’irais trouver dehors, je te baiserais, et on ne m’en mépriserait point. (8:1)
2 Je t’amènerais, je t’introduirais dans la maison de ma mère, tu m’enseignerais, et je te ferais boire du vin mixtionné d’aromates, et du moût de mon grenadier. (8:2)
3 Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse. (8:3)
4 Je vous adjure, Filles de Jérusalem, que vous ne réveilliez point celle que j’aime, que vous ne la réveilliez point, jusqu’à ce qu’elle le veuille. (8:4)
5 Qui est celle-ci qui monte du désert, mollement appuyée sur son bien-aimé ? Je t’ai réveillée sous un pommier, là où ta mère t’a enfantée, là où celle qui t’a conçue, t’a enfanté. (8:5)
6 Mets-moi comme un cachet sur ton cœur, comme un cachet sur ton bras ; car l’amour est fort comme la mort, et la jalousie est cruelle comme le sépulcre ; leurs embrasements sont des embrasements de feu, et une flamme très-véhémente. (8:6)
7 Beaucoup d’eaux ne pourraient point éteindre cet amour-là, et les fleuves mêmes ne le pourraient pas noyer ; si quelqu’un donnait tous les biens de sa maison pour cet amour, certainement on n’en tiendrait aucun compte. (8:7)
8 Nous avons une petite sœur qui n’a pas encore de mamelles ; que ferons-nous à notre sœur le jour qu’on parlera d’elle ? (8:8)
9 Si elle est [comme] une muraille, nous bâtirons sur elle un palais d’argent ; et si elle est [comme] une porte, nous la renforcerons d’un entablement de cèdre. (8:9)
10 Je suis [comme] une muraille, et mes mamelles sont comme des tours ; j’ai été alors si favorisée de lui, que j’ai trouvé la paix. (8:10)
11 Salomon a eu une vigne en Bahalhamon, qu’il a donnée à des gardes, et chacun d’eux en doit apporter pour son fruit mille [pièces] d’argent. (8:11)
12 Ma vigne, qui est à moi, est à mon commandement : ô Salomon, que les mille [pièces d’argent soient] à toi, et [qu’il y en ait] deux cents pour les gardes du fruit de la vigne. (8:12)
13 Ô toi qui habites dans les jardins, les amis sont attentifs à ta voix ; fais que je l’entende. (8:13)
14 Mon bien-aimé, fuis-t’en aussi vite qu’un chevreuil, ou qu’un faon de biche, sur les montagnes des drogues aromatiques. (8:14)
Cantique
8:1-14
2Traduction King James revue par B. Blayney
Édition de 1769, libre de droits (hors GB).
1 O that thou wert as my brother, that sucked the breasts of my mother ! when I should find thee without, I would kiss thee ; yea, I should not be despised. (8:1)
2 I would lead thee, and bring thee into my mother’s house, who would instruct me : I would cause thee to drink of spiced wine of the juice of my pomegranate. (8:2)
3 His left hand should be under my head, and his right hand should embrace me. (8:3)
4 I charge you, O daughters of Jerusalem, that ye stir not up, nor awake my love, until he please. (8:4)
5 Who is this that cometh up from the wilderness, leaning upon her beloved ? I raised thee up under the apple tree : there thy mother brought thee forth : there she brought thee forth that bare thee. (8:5)
6 Set me as a seal upon thine heart, as a seal upon thine arm : for love is strong as death ; jealousy is cruel as the grave : the coals thereof are coals of fire, which hath a most vehement flame. (8:6)
7 Many waters cannot quench love, neither can the floods drown it : if a man would give all the substance of his house for love, it would utterly be contemned. (8:7)
8 We have a little sister, and she hath no breasts : what shall we do for our sister in the day when she shall be spoken for ? (8:8)
9 If she be a wall, we will build upon her a palace of silver : and if she be a door, we will inclose her with boards of cedar. (8:9)
10 I am a wall, and my breasts like towers : then was I in his eyes as one that found favour. (8:10)
11 Solomon had a vineyard at Baalhamon ; he let out the vineyard unto keepers ; every one for the fruit thereof was to bring a thousand pieces of silver. (8:11)
12 My vineyard, which is mine, is before me : thou, O Solomon, must have a thousand, and those that keep the fruit thereof two hundred. (8:12)
13 Thou that dwellest in the gardens, the companions hearken to thy voice : cause me to hear it. (8:13)
14 Make haste, my beloved, and be thou like to a roe or to a young hart upon the mountains of spices. (8:14)
Song
8:1-14
3Traduction revue par J. F. Ostervald
Édition de 1823, libre de droits.
1 Plût à Dieu que tu fusses comme mon frère, qui a sucé les mamelles de ma mère ; je t’irais trouver dehors, et je te baiserais, et on ne m’en mépriserait point. (8:1)
2 Je t’amènerais, et t’introduirais dans la maison de ma mère ; et tu m’instruirais, et je te ferais boire du vin mixtionné de drogues et du moût de mon grenadier. (8:2)
3 Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse. (8:3)
4 Je vous adjure, filles de Jérusalem, que vous n’éveilliez ni ne réveilliez pas celle que j’aime, jusqu’à ce qu’elle le veuille. (8:4)
5 Qui est celle-ci qui monte du désert, et qui s’appuie doucement sur son bien-aimé ? Je t’ai réveillé sous un pommier, là où ta mère t’a enfanté, là où t’a enfanté celle qui t’a donné le jour. (8:5)
6 Mets-moi comme un cachet sur ton cœur, comme un cachet sur ton bras. L’amour est fort comme la mort, et la jalousie est dure comme le sépulcre ; leurs embrassements sont des embrassements de feu et une flamme très-véhémente. (8:6)
7 Beaucoup d’eaux ne pourraient éteindre cet amour-là ; et les fleuves même ne le pourraient pas noyer ; si quelqu’un donnait tous les biens de sa maison pour cet amour-là, certainement, on n’en tiendrait aucun compte. (8:7)
8 Nous avons une petite sœur qui n’a point encore de mamelles ; que ferons-nous à notre sœur au jour qu’on parlera d’elle ? (8:8)
9 Si elle est comme une muraille, nous bâtirons sur elle un palais d’argent ; et si elle est comme une porte, nous la renforcerons d’un entablement de cèdre. (8:9)
10 Je suis comme une muraille, et mes mamelles sont comme des tours ; alors j’ai été si favorisée de lui, que j’ai trouvé la paix. (8:10)
11 Salomon a eu une vigne à Bahal-Hamon, qu’il a donnée à des gardes ; chacun desquels en doit apporter pour son fruit mille pièces d’argent. (8:11)
12 Ma vigne, qui est à moi est à mon commandement, ô Salomon ! Que les mille pièces d’argent soient à toi, et qu’il y en ait deux cents pour les gardes de son fruit. (8:12)
13 Toi, qui habites dans les jardins, les amis sont attentifs à ta voix ; fais que je l’entende. (8:13)
14 Mon bien-aimé, enfuis-toi aussi vite qu’un chevreuil, ou qu’un faon de biche, sur les montagnes des drogues aromatiques. (8:14)
Cantique
8:1-14
4Traduction par H.-A. Perret-Gentil
Édition de 1847-1861, libre de droits.
1 O ! que n’es-tu pour moi, comme un frère allaité à la mamelle de ma mère ? Te rencontrant dehors je pourrais l’embrasser, sans encourir le mépris. (8:1)
2 Je veux te conduire, l’amener à la maison de ma mère ; tu m’instruiras : je te donnerai pour breuvage le vin parfumé, le moût de mes grenades. (8:2)
3 Que sa main gauche se pose sous ma tête, et que sa droite m’embrasse ! — (8:3)
4 — Je vous adjure, filles ne Jérusalem, n’éveillez pas, ne réveillez pas mon amour, plus tôt qu’elle ne voudrait ! (8:4)
5 Qui est celle qui monte ici du désert, appuyée sur son bien-aimé ? — C’est sous le pommier que j’éveillai ton amour ; c’est là que ta mère te donna naissance, là que te donna naissance celle qui t’enfanta. (8:5)
6 Tiens-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ta main ! Car l’amour est fort comme la mort, et la jalousie inflexible comme les Enfers ; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Dieu. (8:6)
7 De grandes eaux ne sauraient éteindre l’amour, ni les torrents, le submerger. Quand un homme offrirait tous les trésors de sa maison en échange de l’amour, on le repousserait avec dédain. — (8:7)
8 Nous avons une petite sœur, qui n’a pas encore ses mamelles ; que ferons-nous de noire sœur, lorsqu’il sera question d’elle ? (8:8)
9 Si elle est un mur, nous bâtirons sur elle un château d’argent. Si elle est une porte, nous la garantirons avec des battants de cèdre. — (8:9)
10 — Je serai un mur, et mes mamelles comme des tours, alors je serai à ses yeux comme celle qui trouve paix. (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon ; il remit la vigne à des tenanciers ; ils payaient chacun mille sicles pour sa récolte. (8:11)
12 Je surveille moi-même ma vigne. Que les mille sicles te restent, Salomon, et les deux cents à ceux qui serrent sa récolte ! (8:12)
13 Habitante des jardins ! des amis écoutent ta voix ; fais-la moi entendre ! — (8:13)
14 — Fuis, mon bien-aimé, à l’égal de la gazelle ou du faon de la biche, par dessus les monts des aromates ! (8:14)
Cantique
8:1-14
5Traduction par L. I. Lemaistre de Saci
Édition de 1855, libre de droits.
1 QUI me procurera le bonheur de vous avoir pour frère, suçant le lait de ma mère ; afin que je vous trouve dehors, que je vous donne un baiser, et qu’à l’avenir personne ne me méprise ? (8:1)
2 Je vous prendrai, et je vous conduirai dans la maison de ma mère : c’est là que vous m’instruirez, et je vous donnerai un breuvage d’un vin mêlé de parfums, et un suc nouveau de mes pommes de grenade. (8:2)
3 Sa main gauche est sous ma tête, et il m’embrassera de sa main droite. (8:3)
4 Je vous conjure, ô filles de Jérusalem ! de ne point réveiller celle qui est la bien-aimée de mon âme, et de ne la point tirer de son repos, jusqu’à ce qu’elle le veuille. (8:4)
5 Qui est celle-ci qui s’élève du désert, toute remplie de délices, et appuyée sur son bien-aimé ? [vers-b]Je vous ai réveillée sous le pommier : c’est là que votre mère vous a conçue ; c’est là que celle qui vous a donné la vie vous a mise au monde. (8:5)
6 Mettez-moi comme un sceau sur votre coeur, comme un sceau sur votre bras : parce que l’amour est fort comme la mort, et que le zèle de l’amour est inflexible comme l’enfer : ses lampes sont comme des lampes de feu et de flammes. (8:6)
7 Les grandes eaux n’ont pu éteindre la charité, et les fleuves n’auront pas la force de l’étouffer. Quand un homme aurait donné toutes les richesses de sa maison pour la charité, il les mépriserait comme s’il n’avait rien donné. (8:7)
8 Notre soeur est encore petite, et elle n’a point de mamelles : que ferons-nous à notre soeur au jour ou il faudra lui parler ? (8:8)
9 Si elle est comme un mur, bâtissons dessus des tours d’argent ; si elle est comme une porte, fermons-la avec des ais de bois de cèdre. (8:9)
10 Je suis moi-même comme un mur ; et mes mamelles sont comme une tour depuis que j’ai paru en sa présence, comme ayant trouvé en lui ma paix. (8:10)
11 Le Pacifique a eu une vigne dans celle où il y a une multitude de peuples ; il l’a donnée à des gens pour la garder : chaque homme doit rendre mille pièces d’argent pour le fruit qu’il en retire. (8:11)
12 Pour ma vigne, elle est devant moi. O Pacifique ! vous retirerez mille pièces d’argent de votre vigne, et ceux qui en gardent et en recueillent les fruits en retireront deux cents. (8:12)
13 O vous qui habitez dans les jardins ! nos amis sont attentifs à écouter : faites-moi entendre votre voix. (8:13)
14 Fuyez, ô mon bien-aimé ! et soyez semblable à un chevreuil et à un faon de cerf, en vous retirant sur les montagnes des aromates. (8:14)
Cantique
8:1-14
6Traduction par Albert Rilliet
Édition de 1858, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament.
7Traduction dite Bible de Lausanne
Édition de 1861-1872, libre de droits.
1 Oh ! que n’es-tu pour moi comme un frère allaité des mamelles de ma mère ! Te rencontrant dehors, je te baiserais, sans qu’on m’en méprisât. (8:1)
2 Je te conduirai, je t’amènerai à la maison de ma mère ; tu m’instruiras ; je te ferai boire du vin aromatisé, du jus de mes grenades. (8:2)
3 Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse ! (8:3)
4 Je vous adjure, filles de Jérusalem, pourquoi éveilleriez-vous, et pourquoi réveilleriez-vous [mon] amour, jusqu’à ce qu’elle le veuille. (8:4)
5 Qui est celle-ci qui monte du désert, s’appuyant sur son bien-aimé ? C’est sous les cédrats que je t’ai réveillé ; c’est là que ta mère t’a mis au monde ; c’est là que souffrit celle qui t’a donné le jour. (8:5)
6 Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras ! Oui, l’amour est fort comme la mort, la jalousie est inflexible comme le séjour des morts. Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de l’Eternel. (8:6)
7 De grosses eaux ne pourraient éteindre l’amour, et des fleuves ne le submergeraient pas ; Si quelqu’un voulait donner tous les biens de sa maison pour prix de l’amour, on le traiterait avec un grand mépris. (8:7)
8 Nous avons une jeune sœur, qui n’a point encore de mamelles. Que ferons-nous pour notre sœur, au jour où il sera question d’elle ? (8:8)
9 Si elle est une muraille, nous bâtirons sur elle une redoute d’argent ; et si elle est une porte, nous la clorons d’un plateau de cèdre. (8:9)
10 Je serai une muraille, et mes mamelles [seront] comme des tours. Alors je serai, à ses yeux, comme ayant trouvé paix. (8:10)
11 Salomon possède une vigne à Bahal-hamon ; il a remis la vigne aux gardiens, qui doivent apporter chacun mille [pièces] d’argent pour son fruit. (8:11)
12 Ma vigne, celle qui est à moi, est devant moi. A toi, Salomon, les mille pièces, et deux cents pour ceux qui en gardent le fruit. (8:12)
13 Habitante des jardins, [mes] compagnons prêtent l’oreille à ta voix ! Laisse-moi l’entendre ! (8:13)
14 Fuis, mon bien-aimé ! et sois semblable à la gazelle, ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates. (8:14)
Cantique
8:1-14
8Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré
Édition de 1866, libre de droits.
1 Qui me donnera de vous avoir pour frère, suçant les mamelles de ma mère, afin que je vous trouve dehors, que je vous couvre de baisers, et qu’à l’avenir personne ne me méprise ? (8:1)
2 Je vous prendrai et je vous conduirai dans la maison de ma mère ; vous m’instruirez, et je vous donnerai une coupe d’un vin mêlé de parfums et un suc nouveau de mes pommes de grenade. (8:2)
3 Sa main gauche est sous ma tête, et il m’embrassera de sa droite. (8:3)
4 Je vous conjure, filles de Jérusalem, de ne pas réveiller et de ne pas troubler dans son sommeil celle que j’aime, jusqu’à ce qu’elle s’éveille d’elle-même. (8:4)
5 Quelle est celle-ci qui s’élève du désert, inondée de délices, appuyée sur son bien-aimé ? [vers-b] Je vous ai donné l’être sous le pommier ; c’est là que votre mère s’est corrompue, c’est là que celle qui vous a engendrée à la vie a perdu sa pureté. (8:5)
6 Posez-moi comme un sceau sur votre cœur, comme un sceau sur votre bras, parce que l’amour est fort comme la mort ; le zèle de l’amour est inflexible comme l’enfer : ses lampes sont des lampes de feu et de flammes. (8:6)
7 Les grandes eaux n’ont pu éteindre la charité, et les fleuves ne l’étoufferont pas. Quand l’homme donnera toutes les richesses de sa maison pour la charité, il les méprisera comme s’il n’avait rien donné. (8:7)
8 Notre sœur est petite et elle n’a point de mamelles ; que ferons-nous à notre sœur le jour où il faudra lui parler ? (8:8)
9 Si elle est comme une muraille, bâtissons dessus des tours d’argent ; si elle est comme la porte d’un édifice, fermons-la avec des ais de bois de cèdre. (8:9)
10 Je suis moi-même comme un mur, et mes mamelles sont comme une tour, depuis que j’ai paru en sa présence et que j’ai trouvé en lui ma paix. (8:10)
11 Le Pacifique avait une vigne dans celle où il y a une multitude de peuples ; il l’a donnée à des gardiens : chacun doit rendre mille pièces d’argent pour le fruit qu’il en retire. (8:11)
12 Pour ma vigne, elle est devant moi. O Pacifique, vous retirerez mille pièces d’argent de votre vigne, et ceux qui en gardent les fruits en retireront deux cents. (8:12)
13 O vous qui habitez dans les jardins, nos amis écoutent ; faites-moi entendre votre voix. (8:13)
14 Fuyez, ô mon bien-aimé, semblable au chevreuil et au faon des cerfs, fuyez sur les montagnes des parfums. (8:14)
Cantique
8:1-14
9Traduction par L. Segond & H. Oltramare
Édition de 1874, libre de droits.
1 Oh ! que n’es-tu mon frère, allaité des mamelles de ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t’embrasserais, et l’on ne me mépriserait pas. (8:1)
2 Je veux te conduire, t’amener à la maison de ma mère ; tu me donneras tes instructions, et je te ferai boire du vin parfumé, du moût de mes grenades. (8:2)
3 Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse ! — (8:3)
4 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, avant qu’elle le veuille. — (8:4)
5 Qui est celle qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ? — Je t’ai réveillée sous le pommier ; là ta mère t’a enfantée, c’est là qu’elle t’a enfantée, qu’elle t’a donné le jour. — (8:5)
6 Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras ; car l’amour est fort comme la mort, la jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de l’Éternel. (8:6)
7 Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, et les fleuves ne le submergeraient pas ; quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l’amour, il ne s’attirerait que le mépris. (8:7)
8 Nous avons une petite sœur, qui n’a point encore de mamelles ; que ferons-nous de notre sœur, le jour où on la recherchera ? (8:8)
9 Si elle est un mur, nous bâtirons sur elle des créneaux d’argent ; si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre. — (8:9)
10 Je suis un mur, et mes seins sont comme des tours ; j’ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix. (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon ; il remit la vigne à des gardiens ; chacun apportait pour son fruit mille sicles d’argent. (8:11)
12 Ma vigne, qui est à moi, je la garde. À toi, Salomon, les mille sicles, et deux cents à ceux qui gardent le fruit ! — (8:12)
13 Habitante des jardins ! Des amis prêtent l’oreille à ta voix. Daigne me la faire entendre ! — (8:13)
14 Fuis, mon bien-aimé ! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates ! (8:14)
Cantique
8:1-14
10Traduction par J. N. Darby
Édition de 1885, libre de droits.
1 — Oh ! que tu fusses pour moi comme un frère qui ait sucé les mamelles de ma mère ! Si je te trouvais dehors, je t’embrasserais, sans qu’on m’en méprisât. (8:1)
2 Je t’amènerais, je t’introduirais dans la maison de ma mère : tu m’instruirais ; je te ferais boire du vin aromatisé, du jus de mes grenades. (8:2)
3 Sa main gauche serait sous ma tête, et sa droite m’embrasserait ! (8:3)
4 Je vous adjure, filles de Jérusalem, pourquoi éveilleriez-vous, et pourquoi réveilleriez-vous [mon] amour, avant qu’elle le veuille ! (8:4)
5 Qui est celle-ci qui monte du désert, s’appuyant sur son bien-aimé ? — Je t’ai réveillée sous le pommier : là ta mère t’a enfantée dans les douleurs, là celle qui t’a enfantée a été en travail. (8:5)
6 Mets-moi comme un cachet sur ton cœur, comme un cachet sur ton bras ; car l’amour est fort comme la mort, la jalousie, cruelle comme le shéol ; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Jah. (8:6)
7 Beaucoup d’eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves ne le submergent pas ; si un homme donnait tous les biens de sa maison pour l’amour, on l’aurait en un profond mépris. (8:7)
8 Nous avons une petite sœur, et elle n’a pas encore de seins. Que ferons-nous pour notre sœur, au jour qu’on parlera d’elle ? (8:8)
9 — Si elle est une muraille, nous bâtirons sur elle une demeure d’argent ; et si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre. (8:9)
10 Je suis une muraille, et mes seins sont des tours ; je fus alors à ses yeux comme celle qui a trouvé la paix. — (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon : il remit la vigne à des gardiens ; chacun devait apporter pour son fruit mille [pièces] d’argent. (8:11)
12 Ma vigne, qui est à moi, est devant moi. À toi, Salomon, les mille [pièces] ; et deux cents pour ceux qui en gardent le fruit. (8:12)
13 Habitante des jardins, les compagnons sont attentifs à ta voix ! Fais que je l’entende ! (8:13)
14 Fuis, mon bien-aimé, et sois semblable à une gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates. (8:14)
Cantique
8:1-14
11Traduction par L. Cl. Fillion
Édition de 1889, libre de droits.
1 Qui me donnera de t’avoir pour frère, suçant les mamelles de ma mère, afin que je te trouve dehors, que je t’embrasse, et que désormais personne ne me méprise ? (8:1)
2 Je te prendrai, et je te conduirai dans la maison de ma mère ; là tu m’instruiras, et je te donnerai une coupe de vin parfumé, et le suc de mes grenades. (8:2)
3 Sa main gauche est sous ma tête, et de sa droite il m’embrassera. (8:3)
4 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, ne troublez pas, et n’éveillez pas la bien-aimée, jusqu’à ce qu’elle-même le veuille. (8:4)
5 Quelle est celle-ci qui monte du désert, enivrée de délices, appuyée sur son bien-aimé ? Je t’ai éveillée sous le pommier ; c’est là que ta mère t’a conçue, là que celle qui t’a donné le jour t’a enfantée. (8:5)
6 Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras, car l’amour est fort comme la mort, et le zèle de l’amour inflexible comme l’enfer ; ses lampes sont des lampes de feu et de flamme. (8:6)
7 Les grandes eaux n’ont pu éteindre l’amour, et les fleuves ne le submergeront point. Quand un homme donnerait toutes les richesses de sa maison pour l’amour, il les mépriserait comme un rien. (8:7)
8 Notre sœur est petite, et elle n’a pas de mamelles ; que ferons-nous à notre sœur au jour où il faudra lui parler ? (8:8)
9 Si elle est un mur, bâtissons sur lui des créneaux d’argent ; si elle est une porte, fermons-la avec des ais de cèdre. (8:9)
10 Je suis un mur, et mes mamelles sont comme une tour, depuis que j’ai paru devant lui, comme ayant trouvé la paix. (8:10)
11 Le pacifique a eu une vigne dans celle qui contient des peuples nombreux ; il l’a livrée à des gardiens ; chacun doit rendre mille pièces d’argent pour ses fruits. (8:11)
12 Ma vigne est devant moi. Les mille pièces d’argent sont pour toi, ô pacifique, et il y en a deux cents pour ceux qui gardent ses fruits. (8:12)
13 O toi qui habites dans les jardins, nos amis écoutent ; fais-moi entendre ta voix. (8:13)
14 Fuis, ô mon bien-aimé, et sois semblable à la gazelle et au faon des cerfs sur les montagnes des aromates. (8:14)
Cantique
8:1-14
12Traduction par Edmond Stapfer
Édition de 1889, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament.
13Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn
Édition de 1899-1906, libre de droits.
1 OH ! Que n’es-tu mon frère ? Que n’as-tu sucé le lait de ma mère ? Alors, en te rencontrant dehors, je pourrais t’embrasser, sans que pour cela on me méprise. (8:1)
2 Je t’emmènerais, je te conduirais dans la maison de ma mère ; là tu m’instruirais, et je te ferais boire le vin parfumé, le jus de mes grenades. (8:2)
3 Son bras gauche soutient ma tête et sa droite me tient enlacée. (8:3)
4 Je vous conjure, filles de Jérusalem, n’éveillez pas, ne provoquez pas l’amour avant qu’il le veuille. (8:4)
5 Qui est-elle, celle qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ? — C’est sous ce pommier que j’ai éveillé ton amour, là où ta mère te mit au monde, là où ta mère te donna le jour. (8:5)
6 Place-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras, car l’amour est fort comme la mort, la passion terrible comme le Cheol ; ses traits sont des traits de feu, une flamme divine. (8:6)
7 Des torrents d’eau ne sauraient éteindre l’amour, des fleuves ne sauraient le noyer. Quand un homme donnerait toute la fortune de sa maison pour acheter l’amour, il ne recueillerait que dédain. (8:7)
8 Nous avons une petite sœur, dont le sein n’est pas encore formé : que ferons-nous de notre sœur le jour où il sera question d’elle [pour des épousailles] ? (8:8)
9 Si elle est un mur, bâtissons dessus une tourelle d’argent ; et si elle est une porte, entourons-la d’un panneau de cèdre. (8:9)
10 Je suis un mur, et mes seins sont comme des tours ; dès lors, je suis à ses yeux comme une cause de bonheur. (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon ; il donna la vigne à des fermiers, dont chacun devait apporter mille sicles pour les fruits. (8:11)
12 Ma vigne à moi est là, sous mes yeux : à toi, Salomon, les mille pièces d’argent, plus deux cents pour ceux qui en gardent les fruits. (8:12)
13 O [mon amie], qui te tiens dans les jardins, les amis sont tout oreilles pour écouter ta voix : Laisse-moi l’entendre. (8:13)
14 — Fuis, mon bien-aimé, et comme le chevreuil ou le faon des biches [retire-toi] sur les montagnes embaumées. (8:14)
Cantique
8:1-14
14Traduction par Louis Segond
Édition de 1910, libre de droits.
1 Oh ! que n’es-tu mon frère, allaité des mamelles de ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t’embrasserais, et l’on ne me mépriserait pas. (8:1)
2 Je veux te conduire, t’amener à la maison de ma mère ; tu me donneras tes instructions, et je te ferai boire du vin parfumé, du moût de mes grenades. (8:2)
3 Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse ! — (8:3)
4 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, avant qu’elle le veuille. — (8:4)
5 Qui est celle qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ? — Je t’ai réveillée sous le pommier ; là ta mère t’a enfantée, c’est là qu’elle t’a enfantée, qu’elle t’a donné le jour. — (8:5)
6 Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras ; car l’amour est fort comme la mort, la jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de l’Éternel. (8:6)
7 Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, et les fleuves ne le submergeraient pas ; quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l’amour, il ne s’attirerait que le mépris. (8:7)
8 Nous avons une petite sœur, qui n’a point encore de mamelles ; que ferons-nous de notre sœur, le jour où on la recherchera ? (8:8)
9 Si elle est un mur, nous bâtirons sur elle des créneaux d’argent ; si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre. — (8:9)
10 Je suis un mur, et mes seins sont comme des tours ; j’ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix. (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon ; il remit la vigne à des gardiens ; chacun apportait pour son fruit mille sicles d’argent. (8:11)
12 Ma vigne, qui est à moi, je la garde. À toi, Salomon, les mille sicles, et deux cents à ceux qui gardent le fruit ! — (8:12)
13 Habitante des jardins ! Des amis prêtent l’oreille à ta voix. Daigne me la faire entendre ! — (8:13)
14 Fuis, mon bien-aimé ! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates ! (8:14)
Cantique
8:1-14
15Traduction par Augustin Crampon
Édition de 1923, libre de droits.
1 Oh ! que ne m’es-tu un frère, qui aurait sucé les mamelles de ma mère ! Te rencontrant dehors, je t’embrasserais, et on ne pourrait me mépriser. (8:1)
2 Je t’amènerais, je t’introduirais dans la maison de ma mère : tu m’enseignerais ; et je te ferais boire du vin aromatisé, le jus de mes grenades. (8:2)
3 Sa main gauche est sous ma tête, et sa droite me tient embrassée. (8:3)
4 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, n’éveillez pas, ne réveillez pas la bien-aimée, avant qu’elle le veuille. (8:4)
5 Quelle est celle-ci qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ? [verset-b]Je t’ai réveillée sous le pommier, là, ta mère t’a conçue ; là, elle t’a conçue, là, elle t’a donné le jour. (8:5)
6 Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras ; car l’amour est fort comme la mort, la jalousie est inflexible comme le schéol. Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Yahweh. (8:6)
7 Les grandes eaux ne sauraient éteindre l’amour, et les fleuves ne le submergeraient pas. Un homme donnerait-il pour l’amour toutes les richesses de sa maison, on ne ferait que le mépriser. (8:7)
8 Nous avons une petite sœur, qui n’a pas encore de mamelles : que ferons-nous à notre sœur, le jour où on la recherchera ? (8:8)
9 Si elle est un mur, nous lui ferons un couronnement d’argent ; si elle est une porte, nous la fermerons avec des ais de cèdre. (8:9)
10 Je suis un mur, et mes seins sont comme des tours, aussi suis-je, à ses yeux, celle qui a trouvé la paix, (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon, il remit la vigne à des gardiens, et pour son fruit chacun devait lui apporter mille sicles d’argent. (8:11)
12 La vigne qui est à moi, j’en dispose : à toi, Salomon, les milles sicles, et deux cents aux gardiens de son fruit. (8:12)
13 Toi qui habites les jardins, les compagnons prêtent l’oreille à ta voix : daigne me la faire entendre. (8:13)
14 Cours, mon bien aimé, et sois semblable à la gazelle, ou au faon des biches, sur les montagnes des baumiers ! (8:14)
Cantique
8:1-14
16La Bible de Jérusalem
Édition de 1973 © Copyright.[+]
1 Ah ! que ne m’es-tu un frère, allaité au sein de ma mère ! Te rencontrant dehors, je pourrais t’embrasser, sans que les gens me méprisent. (8:1)
2 Je te conduirais, je t’introduirais dans la maison de ma mère, tu m’enseignerais ! Je te ferais boire un vin parfumé, ma liqueur de grenades. (8:2)
3 Son bras gauche est sous ma tête, et sa droite m’étreint. (8:3)
4 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, n’éveillez pas, ne réveillez pas mon amour, avant l’heure de son bon plaisir. (8:4)
5 Qui est celle-ci qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ? Sous le pommier je t’ai réveillée, là même où ta mère te conçut, là où conçut celle qui t’a enfantée. (8:5)
6 Pose-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras. Car l’amour est fort comme la Mort, la passion inflexible comme le Shéol. Ses traits sont des traits de feu, une flamme de Yahvé. (8:6)
7 Les grandes eaux ne pourront éteindre l’amour, ni les fleuves le submerger. Qui offrirait toutes les richesses de ma maison pour acheter l’amour, ne recueillerait que mépris. (8:7)
8 Notre sœur est petite : elle n’a pas encore les seins formés. Que ferons-nous à notre sœur, le jour où il sera question d’elle ? - (8:8)
9 Si elle est un rempart, nous élèverons au faîte un couronnement d’argent ; si elle est une porte, nous dresserons contre elle des ais de cèdre. - (8:9)
10 Je suis un mur, et mes seins en figurent les tours. Aussi ai-je à leurs yeux trouvé la paix. (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamôn. Il la confia à des gardiens, et chacun devait lui remettre le prix de son fruit : mille sicles d’argent. (8:11)
12 Ma vigne à moi, je l’ai sous mes yeux : à toi Salomon les mille sicles, et 200 aux gardiens de son fruit. (8:12)
13 Toi qui habites les jardins, mes compagnons prêtent l’oreille à ta voix : daigne me la faire entendre ! (8:13)
14 Fuis, mon bien-aimé, Sois semblable à une gazelle, à un jeune faon, sur les montagnes embaumées ! (8:14)
Cantique
8:1-14
17Nouvelle édition de Genève
Édition de 1979 © Copyright.[+]
1 Oh ! Que n’es-tu mon frère, Allaité des mamelles de ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t’embrasserais, Et l’on ne me mépriserait pas. (8:1)
2 Je veux te conduire, t’amener à la maison de ma mère ; Tu me donneras tes instructions, Et je te ferai boire du vin parfumé, Du moût de mes grenades. (8:2)
3 Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m’embrasse ! (8:3)
4 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille. (8:4)
5 Qui est celle qui monte du désert, Appuyée sur son bien-aimé ? Je t’ai réveillée sous le pommier ; Là ta mère t’a enfantée, C’est là qu’elle t’a enfantée, qu’elle t’a donné le jour. (8:5)
6 Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, Comme un sceau sur ton bras ; Car l’amour est fort comme la mort, La jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l’Eternel. (8:6)
7 Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas ; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l’amour, Il ne s’attirerait que le mépris. (8:7)
8 Nous avons une petite sœur, Qui n’a point encore de mamelles ; Que ferons-nous de notre sœur, Le jour où on la recherchera ? (8:8)
9 Si elle est un mur, Nous bâtirons sur elle des créneaux d’argent ; Si elle est une porte, Nous la fermerons avec une planche de cèdre. (8:9)
10 Je suis un mur, Et mes seins sont comme des tours ; J’ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix. (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon ; Il remit la vigne à des gardiens ; Chacun apportait pour son fruit mille sicles d’argent. (8:11)
12 Ma vigne, qui est à moi, je la garde. A toi, Salomon, les mille sicles, Et deux cents à ceux qui gardent le fruit ! (8:12)
13 Habitante des jardins ! Des amis prêtent l’oreille à ta voix. Daigne me la faire entendre ! (8:13)
14 Fuis, mon bien-aimé ! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes des aromates ! (8:14)
Cantique
8:1-14
18Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 1995 © Copyright.[+]
1 “ Oh ! que n’es-​tu comme mon frère, tétant les seins de ma mère ! Si je te trouvais dehors, je t’embrasserais. Les gens ne me mépriseraient pas. (8:1)
2 Je te conduirais, je t’introduirais dans la maison de ma mère, qui m’enseignait. Je te ferais boire du vin aromatisé, du jus frais de grenades. (8:2)
3 Sa main gauche serait sous ma tête, et sa droite — elle m’étreindrait. (8:3)
4 “ Je vous ai fait jurer, ô filles de Jérusalem, de ne pas tenter d’éveiller ou de réveiller l’amour [en moi] avant qu’il le désire. ” (8:4)
5 “ Quelle est cette femme qui monte du désert, appuyée sur celui qui lui est cher ? ” “ Sous le pommier je t’ ai réveillé. Là, ta mère, [enceinte] de toi, a été dans les douleurs. Là, celle qui te mettait au monde a éprouvé les douleurs. (8:5)
6 “ Place-​moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras ; parce que l’amour est fort comme la mort, la volonté d’être l’objet d’un attachement exclusif est inflexible comme le shéol. Ses flamboiements sont des flamboiements de feu, la flamme de Yah. (8:6)
7 Les eaux nombreuses ne peuvent éteindre l’amour, et les fleuves ne sauraient l’entraîner. Si un homme donnait toutes les choses de valeur de sa maison pour l’amour, à coup sûr on les mépriserait. ” (8:7)
8 “ Nous avons une petite sœur qui n’a pas de seins. Que ferons-​nous pour notre sœur le jour où on la demandera ? ” (8:8)
9 “ Si elle est une muraille, nous bâtirons sur elle des créneaux d’argent, mais si elle est une porte, nous la bloquerons d’une planche de cèdre. ” (8:9)
10 “ Je suis une muraille, et mes seins sont comme des tours. Alors je suis devenue à ses yeux comme celle qui trouve la paix. (8:10)
11 “ Salomon avait une vigne à Baal-Hamôn. Il remit la vigne aux gardiens. Chacun apportait pour son fruit mille pièces d’argent. (8:11)
12 “ Ma vigne, qui m’appartient, est à ma disposition. Les mille t’appartiennent, ô Salomon, et deux cents à ceux qui en gardent le fruit. ” (8:12)
13 “ Ô toi qui habites dans les jardins, les associés sont attentifs à ta voix. Fais que je l’entende. ” (8:13)
14 “ Fuis, toi qui m’es cher, et deviens semblable à une gazelle ou à un faon des cerfs sur les montagnes des aromates. ” (8:14)
Cantiques
8:1-14
19Traduction Louis Segond 21
Édition de 2007 © Copyright.[+]
1 Si seulement tu étais comme mon frère, si seulement tu avais été allaité par ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t’embrasserais et l’on ne me mépriserait même pas. (8:1)
2 Je te conduirais, je t’amènerais chez ma mère, tu m’instruirais et je te ferais boire du vin parfumé, du jus de mes grenades. (8:2)
3 Que sa main gauche soutienne ma tête et que de sa main droite il m’enlace ! (8:3)
4 Je vous en supplie, filles de Jérusalem, ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour avant qu’elle ne le veuille ! (8:4)
5 Qui est celle qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ? [vers-b]Je t’ai réveillé sous le pommier. C’est là que ta mère est tombée enceinte de toi, c’est là qu’elle est tombée enceinte et t’a donné le jour. (8:5)
6 Fais de moi comme une empreinte sur ton cœur, comme une empreinte sur ton bras, car l’amour est aussi fort que la mort, la passion est aussi inflexible que le séjour des morts. Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de l’Eternel. (8:6)
7 Les grandes eaux ne pourront pas éteindre l’amour, ni les fleuves le submerger. Même si un homme offrait tous les biens de sa maison contre l’amour, il ne s’attirerait que le mépris. (8:7)
8 Nous avons une petite sœur qui n’a pas encore de poitrine. Que ferons-nous de notre sœur, le jour où on la réclamera ? (8:8)
9 Si elle est un rempart, nous construirons sur elle des créneaux en argent ; si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre. (8:9)
10 Je suis un rempart et mes seins sont comme des tours. A ses yeux, j’ai été pareille à celle qui trouve la paix. (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon. Il a confié la vigne à des gardiens : chacun apportait 1000 pièces d’argent pour récolter son fruit. (8:11)
12 Ma vigne à moi, je la garde. A toi, Salomon, les 1000 pièces, et 200 à ceux qui gardent son fruit ! (8:12)
13 Habitante des jardins, des compagnons prêtent attention à ta voix. Fais-la-moi entendre ! (8:13)
14 Prends la fuite, mon bien-aimé ! Montre-toi pareil à la gazelle ou au jeune cerf sur les montagnes aux aromates ! (8:14)
Cantique
8:1-14
20Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 2018 © Copyright.[+]
1 « Si seulement tu étais comme mon frère, qui s’est nourri aux seins de ma mère ! Alors, si je te rencontrais dehors, je pourrais t’embrassersans que personne me méprise. (8:1)
2 Je te guiderais, je te ferais entrer dans la maison de ma mère, celle qui m’enseignait. Je te donnerais à boire du vin aromatisé, du jus frais de grenades. (8:2)
3 Sa main gauche serait sous ma tête, et sa main droite m’étreindrait. (8:3)
4 Je vous fais jurer, ô filles de Jérusalem : tant que l’amour n’y sera pas décidé, n’essayez pas de l’éveiller ou de le réveiller en moi. » (8:4)
5 « Qui est cette femme qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ? » « Sous le pommier je t’ai réveillé. C’est là que ta mère t’a donné naissance. C’est là qu’a accouché la femme qui t’a donné le jour. (8:5)
6 Place-​moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras, car l’amour est fort comme la mort ; la fidélité, inflexible comme la Tombe. Ses flammes sont un feu ardent, la flamme de Jah. (8:6)
7 Les eaux agitées ne peuvent éteindre l’amouret les fleuves ne peuvent l’emporter. Si un homme proposait toutes les richesses de sa maison pour acheter l’amour, on les mépriserait profondément. » (8:7)
8 « Nous avons une petite sœurqui n’a pas encore de seins. Que ferons-​nous pour notre sœurle jour où on la demandera en mariage ? » (8:8)
9 « Si elle est une muraille, nous construirons sur elle des créneaux d’argent. Mais si elle est une porte, nous la barricaderons avec une planche de cèdre. » (8:9)
10 « Je suis une muraille, et mes seins sont comme des tours. Ainsi il peut voirque j’ai l’esprit en paix. (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamôn. Il a confié la vigne à des cultivateurs. Chacun d’eux payait mille pièces d’argent pour les fruits qu’elle produisait. (8:11)
12 Je possède ma propre vigne et j’en dispose à ma guise. Les mille pièces d’argent t’appartiennent, ô Salomon, et deux cents à ceux qui prennent soin de ses fruits. » (8:12)
13 « Ô toi qui habites dans les jardins, les compagnons cherchent à entendre ta voix. Je veux l’entendre moi aussi. » (8:13)
14 « Fais vite, mon bien-aimé ! Sois rapide comme la gazelle, comme le faon, sur les montagnes où poussent les aromates. » (8:14)
Cantique
8:1-14
21Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford
Édition de 2022 © Copyright.[+]
1 Ô que n’es-tu mon frère, qui a sucé les seins de ma mère ! Quand je te trouverais dehors, je t’embrasserais, oui, on ne me mépriserait pas. (8:1)
2 Je te conduirais et t’introduirais dans la maison de ma mère : tu m’instruirais, je te ferais boire du vin aromatisé du jus de ma grenade. (8:2)
3 Sa main gauche serait sous ma tête, et sa main droite m’embrasserait. (8:3)
4 Je vous ordonne, ô filles de Jérusalem, que vous n’excitiez pas, ni ne réveilliez mon amour, avant qu’il le veuille. (8:4)
5 Qui est celle-ci qui monte du désert, s’appuyant sur son bien-aimé ? Je t’ai réveillée sous un pommier, là ta mère t’a enfantée, là elle t’a donné le jour celle qui t’a enfantée. (8:5)
6 ¶ Place-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un cachet sur ton bras : car l’amour est fort comme la mort, et la jalousie est cruelle comme la tombe : leurs braises sont des braises de feu qui ont une flamme très véhémente. (8:6)
7 Beaucoup d’eaux ne peuvent étouffer l’amour, les fleuves ne peuvent pas le noyer : si un homme donnait tous les biens de sa maison pour l’amour, on le mépriserait entièrement. (8:7)
8 ¶ Nous avons une petite sœur, elle n’a pas encore de seins : que ferons-nous pour notre sœur au jour où on parlera d’elle ? (8:8)
9 Si elle est comme un mur, nous bâtirons sur elle un palais d’argent : et si elle est comme une porte, nous la renfermerons avec des planches de cèdre. (8:9)
10 Je suis un mur, et mes seins sont comme des tours : alors ai-je été à ses yeux comme celle qui trouve faveur. (8:10)
11 Salomon avait une vigne à Baalhamon : il a laissé la vigne à des gardiens : chacun d’eux devait apporter pour son fruit mille pièces d’argent. (8:11)
12 Ma vigne, qui est à moi, est devant moi : toi, ô Salomon, tu dois avoir mille pièces, et deux cents à ceux qui gardent le fruit. (8:12)
13 Toi qui demeures dans les jardins, les compagnons écoutent ta voix : fais que je l’entende. (8:13)
14 ¶ Hâte-toi, mon bien-aimé, et sois comme un chevreuil ou un jeune cerf sur les montagnes des épices. (8:14)
Cantique
8:1-14