1 | Traduction par David Martin Édition de 1744, libre de droits. | 8 C’est qu’il y a tel qui est seul, et qui n’a point de second, qui aussi n’a ni fils ni frère, et qui cependant ne met nulle fin à son travail ; même son œil ne voit jamais assez de richesses, [et il ne dit point en lui-même] : Pour qui est-ce que je travaille, et que je prive mon âme du bien ? Cela aussi [est] une vanité, et une fâcheuse occupation. (4:8) | Écclésiaste 4:8-8 |
2 | Traduction King James revue par B. Blayney Édition de 1769, libre de droits (hors GB). | 8 There is one alone, and there is not a second ; yea, he hath neither child nor brother : yet is there no end of all his labour ; neither is his eye satisfied with riches ; neither saith he, For whom do I labour, and bereave my soul of good ? This is also vanity, yea, it is a sore travail. (4:8) | Ecclesiastes 4:8-8 |
3 | Traduction revue par J. F. Ostervald Édition de 1823, libre de droits. | 8 C’est qu’il y a tel homme qui est seul, et qui n’a point de second ; il n’a ni fils, ni frère, et toutefois, il ne met nulle fin à son travail ; même, son œil ne voit jamais assez de richesses ; et il ne se dit point en lui-même : Pour qui est-ce que je travaille, et que je me prive moi-même du bien ? Cela aussi est une vanité et une fâcheuse occupation. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
4 | Traduction par H.-A. Perret-Gentil Édition de 1847-1861, libre de droits. | 8 Cet homme est seul, et n’a pas un autre lui-même ; il n’a ni fils, ni frère, et cependant son labeur est sans fin, et ses yeux n’ont jamais assez des richesses. Pour qui donc est-ce que je me peine, et sèvre mon âme du bonheur ? C’est aussi là une vanité et une tâche ingrate. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
5 | Traduction par L. I. Lemaistre de Saci Édition de 1855, libre de droits. | 8 Tel est seul et n’a personne avec lui, ni enfant, ni frère, qui néanmoins travaille sans cesse : ses yeux sont insatiables de richesses ; et il ne lui vient point dans l’esprit de se dire à lui-même : Pour qui est-ce que je travaille ? et pourquoi me priver moi-même de l’usage de mes biens ? C’est là encore une vanité, et une affliction bien malheureuse. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
6 | Traduction par Albert Rilliet Édition de 1858, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament. | |
7 | Traduction dite Bible de Lausanne Édition de 1861-1872, libre de droits. | 8 Tel est seul et n’a pas de second, il n’a pas non plus de fils ni de frère, et [pourtant] il n’y a point de fin à tout son labeur ; ses yeux, non plus, ne sont point rassasiés de richesse... Et pour qui est-ce que je me tourmente et que je prive mon âme de bonheur ? Cela aussi est une vanité, et c’est une affaire ingrate que cela. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
8 | Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré Édition de 1866, libre de droits. | 8 Tel est seul et n’a personne près de lui, ni enfant, ni frère, et cependant il ne cesse de travailler, et ses yeux ne se rassasient pas de richesses ; et il ne lui vient point à l’esprit de se dire : Pour qui est-ce que je travaille ? et pourquoi me priver moi-même de l’usage de mes biens ? C’est encore là une vanité et une affliction très-malheureuse. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
9 | Traduction par L. Segond & H. Oltramare Édition de 1874, libre de droits. | 8 Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n’a ni fils ni frère, et pourtant son travail n’a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances ? C’est encore là une vanité et une chose mauvaise. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
10 | Traduction par J. N. Darby Édition de 1885, libre de droits. | 8 tel est seul sans qu’il y ait de second : il n’a pas non plus de fils ni de frère, et il n’y a pas de fin à tout son labeur ; son œil n’est pas non plus rassasié par la richesse, et [il ne se dit pas] : Pour qui donc est-ce que je me tourmente et que je prive mon âme de bonheur ? Cela aussi est une vanité et une ingrate occupation. (4:8) | Prédicateur 4:8-8 |
11 | Traduction par L. Cl. Fillion Édition de 1889, libre de droits. | 8 Tel est seul et n’a personne avec lui, ni fils, ni frère, et cependant il ne cesse pas de travailler, et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses ; et il ne réfléchit pas, en disant : Pour qui est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de biens ? C’est là encore une vanité, et une affliction très fâcheuse. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
12 | Traduction par Edmond Stapfer Édition de 1889, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament. | |
13 | Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn Édition de 1899-1906, libre de droits. | 8 Voici un homme isolé, sans compagnon, qui n’a même pas de fils ni de frère, et il ne met pas de bornes à son labeur ! Ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. [II ne se demande pas :] « Pour qui est-ce que je peine ? Pour qui refusé-je à mon âme la moindre jouissance ? » Encore une vanité et une triste condition ! (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
14 | Traduction par Louis Segond Édition de 1910, libre de droits. | 8 Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n’a ni fils ni frère, et pourtant son travail n’a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances ? C’est encore là une vanité et une chose mauvaise. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
15 | Traduction par Augustin Crampon Édition de 1923, libre de droits. | 8 Tel homme est seul et n’a pas de second, il n’a ni fils ni frère, et pourtant il n’y a pas de fin à tout son travail, et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses : “ Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissance ? ˮ Cela encore est vanité, et mauvaise occupation. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
16 | La Bible de Jérusalem Édition de 1973 © Copyright.[+] | 8 soit quelqu’un de seul qui n’a pas de second, pas de fils ni de frère ; il n’y a pas de limite à toute sa besogne, et ses yeux ne sont pas rassasiés de richesses : « Pour qui donc est-ce que je travaille et me prive de bonheur ? » Cela aussi est vanité, et c’est une mauvaise besogne. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
17 | Nouvelle édition de Genève Édition de 1979 © Copyright.[+] | 8 Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n’a ni fils ni frère, et pourtant son travail n’a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances ? C’est encore là une vanité et une chose mauvaise. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
18 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 1995 © Copyright.[+] | 8 Il existe quelqu’un de seul, mais pas de second ; il n’a pas non plus de fils ni de frère, mais il n’y a pas de fin à tout son dur travail. De plus, ses yeux ne sont pas rassasiés de richesses : “ Et pour qui est-ce que je travaille dur et que je laisse mon âme manquer de bonnes choses ? ” Cela aussi est vanité, et c’est une occupation funeste. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
19 | Traduction Louis Segond 21 Édition de 2007 © Copyright.[+] | 8 un homme peut être seul, sans aucun proche, sans fils ni frère, et pourtant son travail n’a pas de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. « Pour qui donc est-ce que je travaille et me prive de bonheur ? » se demande-t-il. Cela aussi, c’est de la fumée et une mauvaise occupation. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
20 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 2018 © Copyright.[+] | 8 Un homme est tout seul, sans compagnon ; il n’a pas de fils ni de frère, pourtant il travaille à n’en plus finir. Ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pourtant, se pose-t-il cette question : « Pour qui est-ce que je travaille dur et que je me prive de bonnes choses ? » Cela aussi est futile, c’est une activité misérable. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |
21 | Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford Édition de 2022 © Copyright.[+] | 8 Il y a un homme seul, et il n’y a pas de second : oui, il n’a ni enfant, ni frère, toutefois, il n’y a pas de fin à tout son travail : même son œil n’est pas rassasié de richesses : il ne se dit pas non plus : Pour qui est-ce que je travaille et que je prive mon âme de bien ? Cela aussi est vanité et une douloureuse occupation. (4:8) | Ecclésiaste 4:8-8 |